dimanche 27 juin 2010

Gentiane de Koch


De nom latin "gentiana kochiana", la gentiane de Koch est une plante herbacée vivace de la famille des Gentianacées ; il s'agit d'une gentiane alpine bien connue. De grande fleurs bleu foncé apparaissent de mai à juillet. Cette espèce exige un emplacement ensoleillé, et sait se contenter de très peu de sol. On la trouve jusqu'à plus de 2 500 m, dans des anfractuosités de rochers bien exposés.

jeudi 17 juin 2010

Le fort Victor Emmanuel

Elevé de 1818 à 1828, le fort Victor-Emmanuel constitue la pièce maîtresse du système de défense de l'Esseillon.

Accroché sur le bord d'une falaise à mille trois cent cinquante mètres d'altitude, l'ouvrage se décompose en une succession parallèle de huit bâtiments à double niveau.

En 1833, une prison est édifiée, notamment aux fins de retenir des libéraux italiens au sein de ses murs.

Voué à servir de base de départ d'une éventuelle offensive, le fort est conçu pour accueillir une garnison de mille cinq cent hommes, servant trente-cinq canons. Véritable lieu de vie, il abrite notamment un hôpital et une chapelle.

Classé Monument Historique, cet édifice fait désormais l'objet d'un important programme de restauration.

Le fort Charles Albert

En 1832, des travaux d'édification d'un dernier fort sont amorcés.

En effet, le système de défense constitué par les quatre autres forts de l'Esseillon existants laisse une brèche au nord du village d'Aussois.

Relié par une tranchée au fort Marie-Christine perché à la même altitude, le fort Charles-Albert est ainsi destiné à compléter l'ensemble du dispositif, en verrouillant les accès au nord du site de l'Esseillon.

L'ouvrage reste cependant inachevé lorsque les travaux sont interrompus en 1834.

Aujourd'hui, seules les ruines de deux petits bâtiments de garnison et la base d'une tour veillent sur la vallée d'Aussois.

Le fort Marie Christine

Edifié de 1819 à 1830, le fort Marie-Christine est le fort le plus haut perché des 5 forts de l'Esseillon, dominant l'ensemble de ses mille cinq cent mètres d'altitude.

Voués à la défense du versant nord de la vallée, le fort et ses vingt canons assuraient un flanquement efficace des forts Charles-Albert et Charles-Félix, ainsi que de la route menant à Aussois.

Entièrement restauré, le fort Marie Christine abrite aujourd'hui un gîte d'étape et un restaurant. Il est également la cinquième porte du Parc National de la Vanoise.

Le fort Charles-Félix


Le fort est mis en service en 1827, il a la forme d'une étoile.

Egalement appelé localement "le fort démoli", le fort Charles Felix a été détruit sur ordre de Napoléon III, à l'heure du rattachement de la Savoie à la France en 1860.

Redoute Marie Thérèse


Protégée au nord par le gouffre de l'Arc, à l'ouest par le ravin du Nant Sainte-Anne, la redoute Marie-Thérèse est le seul ouvrage du dispositif de défense de l'Esseillon bâti sur la rive gauche de la vallée de l'Arc. Edifiée entre 1819 et 1825, cette redoute située sur la commune d'Avrieux a pour mission de barrer la route royale du Mont-Cenis.

Une belle promenade en perspective...

lundi 14 juin 2010

Cascade St Benoit

La Cascade St Benoit est située au nord de la commune d'Avrieux

C'est une cascade alimentée par le ruisseau St Benoit qui prend sa source au fond d'Aussois.

Très souvent, il est possible de voir un arc en ciel au niveau de l'arrivée d'eau de la cascade ; il est fortement conseillé d'avoir un appareil photo étanche pour prendre de plus près la descente d'eau car la douche est assurée... Le pied de la cascade est un véritable brumisateur qui vous apportera beaucoup de fraîcheur.

C'est un site que je recommande, tout particulièrement aux passionné(e)s de la nature. Le chemin vers la cascade se fait en sous bois le long du ruisseau de Saint Benoît.

Lac du Mont Cenis

Une goutte de "rosée"